Le bar du dragon d'or

Le petit bar 360 degré situé en plein milieu du casino. Spécialitée, vodka, martini et alcool flambé.

Quand Djan avait vu au loin, les lumières du Casino irradier, il s'est fixé cet endroit comme premier endroit sur sa carte de visite. La logique même le poussait à aller dans le casino car qui dit Casino dit Argent.
Chose faite, il était entré dans l'immeuble, après avoir admiré les luxueuses berlines stationnés sur le coté. Décidement cette ville était pleine de richesse. Il passa le seuil et se fit arrêter par deux costauds qui lui demendèrent d'ouvrir son sac. Il l'avait fait et ces deux hommes avait trouvés étrange le contenu de celui-ci mais l'avait laissé passer.
Il monta les escaliers en marbre avec un tapis rouge pour accéder la salle de jeu.
Il passa devant les loteries-videos, les roues de fortunes gigantesques et les tables de Black jack. Le monde parlait tellement fort qu'il ôta ses headphones et ne garda rien sur la tête. Il avait soif alors il se diirigea vers le centre de la salle. Un bar circulaire.
Il remarqua que la barmaid n'avait pas l'air extrêmement brillante alors il décida de faire le rôle du dépressif.(il avait acquis une technique de rôles diversifiés, ce qu'il l'aidait souvent dans sa profession)
Il sortit un billet de 20, le lança sur le comptoir avant de s'effondrer dessus celui-ci en lançant un profond soupir.

"Un verre de vodka, s'il vous plait." Laissa-t-il échapper.

Vu qu'il était couché sur ses bras, il ne put voir l'effet qu'il eut sur le Barmaid mais il était sur qu'elle avait laché un: (Pauvre chou)
Parfait, le role marchait, il pourrait soutirer beaucoup d'infromations durant toute une soirée...

"Non, pas vrai!?!." Dit Djan.

"C'est pas d'blague entre-nous,"
Ajouta la serveuse entre deux hocquets, soubresaults dus à l'alcool, bien évidemment...
"Et t'as JAMAIS remarquée que les types passaients à la même heure, chaque soir, BORDEL!"

On s'entend, (en se moment) Djan s'appellait Willis auprès de la serveuse, et ce n'était pas à tout les soirs qu'il se faisait prendre pour un saoul. Disons qu'il déserrait un peu l'étau de ses responsabilités en faisant des heures sup. au Casino.

"Et bien ma foi, non...HAhaha...ha. Will, je peut t'appeler Will?... ces types ne font que les beaux gosses chaque soirs, ils tournent en orbitre autour d'un beau brun qui transporte une valise..."

"WAAOUHH!?! (Djan reposa son verre d'un coup sec et frappa de ses deux mains le comptoir tout en écarquillants soigneusement les yeux.)
... tu trouves pas qu'on à l'impression d'être dans un film d'action, avec des valises ...hic... mystérieuses."

"T'es drôl..e.."

Et puis la serveuse s'en alla, apellé par un autre client, surement désireux d'avoir le même effet sur la Barmaid...

Dimitri franchit la porte du casino, hésitant avant d'entrer. Dès qu'il eut mis un pied dans la place, un employé s'approcha de lui, pour l'accueillir. M. Vladislav s'arrêta un court instant, irascible, et descendit ses lunettes fumées. L'homme s'arrêta net, lui souhaitant une bonne visite d'un air confus. Le Russe reprit son pas, ravi de l'effet qu'il possédait sur certaines gens [oui, oui, vous mes incultes de notre belle langue française, gens est féminin pour les adjectifs placés avants, et masculin pour ceux après!]. Il faut dire qu'il était très peu commun pour Dimitri d'entrer un casino, mais son employeur ne lui avait pas laissé le choix. C'était un petit contrat, de routine, alors rien qui n'importe quoi que ce soit d'extravagant. M. Vladislav repéra au loin un petit bar. Jusque là, son employeur pour le boulot lui avait simplement demandé de se rendre au casino. Après, c'était le néant. Il tira le tabouret vers lui, et s'assit, attendant un appel de son employeur. Jamais il ne buvait d'alcool sur ses heures, déjà qu'il n'en consommait pratiquement jamais ailleurs, mais ce soir, il pouvait bien se le permettre! Après tout, c'était une fin de soirée, pénible, froide, désolée et de toutes façon, qui pourrait le lui reprocher? Certainement pas l'individu à son côté, qui semblait déjà saoulé à fond... État d'être que Dimitri n'eut jamais vécu et qu'il se fût promis de ne jamais vivre. Il commanda un Dry Martini, et regarda discrètement dans le reflet d'un miroir qu'il traînait toujours sur lui. Il repéra trois hommes à l'allure suspecte, qui semblaient être au courant de sa présence. Lorsque l'homme saoul à son côté immédiat relâcha la barmaid, cette dernière sembla se faire réprimander par l'autre serveuse, celle de Dimitri, pour son laisser-aller. D'un geste colérique, elle envoya la barmaid servir le Martini à Dimitri, se croisant les bras et tête de désespoir. Payant son dû, il se tourna vers sa droite. Son collaborateur infiltré dans le casino était là. Discrètement.

"Rusty. Qui sont ces trois hommes?

-Qui, M. Vladislav? Ceux à notre gauche?

-Mais non, тупоумно! Les trois hommes qui semblent pratiquement me tourner autour?"

À ce moment, Dimitri remarqua que la serveuse porta un regard appuyé sur sa mallette. La faisant déguerpir d'un ton cinglant, il reporta son attention sur Rusty.

"Je ne sais pas, monsieur, je vais régler ce problème immédiatement, monsieur.

-Parfait, Rust. Dis-moi juste, est-ce que tu es au courant de quelqu'un qui attendrait une mallette?

-Non monsieur, désolé."

À ces mots, le dénommé Rusty le quitta. Dimitri porta son verre à Dry Martini à ses lèvres. Au moment où ses lèvres allaient enfin toucher le liquide, son cellulaire sonna. Lâchant un juron en Russe, il décrocha brusquement, d'une seule main, gardant sa coupe près de ses lèves. Sans même avoir la possibilité de dire quoi que ce soit, l'homme au bout du fil commença.

"Monsieur Vladislav. Posez vos lèvres sur ce verre une autre fois et je vous jure que vous ne ressortirez pas vivant d'ici."

Sans aucun stress apparent, mais un coup de poing au ventre, Dimitri reposa son verre.

"Voyons, Monsieur Vladislav, ce n'est guère professionnel de votre part de boire sur vos heures! J'avais justement demandé à la serveuse d'ajouter du poison à votre drink - elle travaille pour moi -, c'est une chance que vous ne l'ayez pas bu! Mais bon, faites juste poser la valise sur le comptoir, après cinq minutes de votre absence, j'irai la récupérer. Ce fut un plaisir de faire affaire avec vous, monsieur. Ah, et j'oubliais, voici votre commission."

L'homme au bout de la ligne raccrocha. La barmaid s'approcha de nouveau de Dimitri, avec un autre Dry Martini, et une enveloppe brune de format standard. En déposant le tout, glissant l'enveloppe d'un geste expert en-dessous du verre en V. Tout en gardant un sourire improbable, elle lui dit:

"Ça vient du monsieur là-bas."

Et elle s'en fut. Le laissant seul, pourtant entouré. Derrière lui, trois gardes de sécurité professionnels étaient en train de sortir du casino les trois hommes qui travaillaient, il en était sûr, maintenant, pour son employeur. Il déposa sa mallette d'un air absent sur la table, but d'une traite et sans faire de grimace son Martini, puis partit, prenant l'enveloppe de ses mains gantées. Un petit texte y était marqué.

"Voici votre commission. En passant, bravo pour avoir remarqué mes collaborateurs! C'est là qu'on voit votre pouvoir!

P.S.: L'homme à gauche de l'homme à votre gauche pourrait vous intéresser."

Il replia la lettre, et s'approcha de l'homme mentionné dans la lettre, qui semblait avoir été écrite dans la précipitation. Il lui tapota l'épaule pour lui attirer l'attention, et, bien qu'il ne le reconnaissait pas du tout, il lui demanda:

"Pardon Monsieur, mais est-ce qu'on se connaît?"

Samaël s’attendait à voir un pur inconnu transporté la mallette dont parlait si avidement la barmaid et le pauvre ivrogne, qui était finalement pas du tout un type comme lui, mais là ça s’en était non mais quand même pourquoi la vie lui tapait-t’elle dessus à coup de bat de baseball. Non mais tout de même une bombe atomique lui aurait fait moins mal. Tout ce supplice était dû à l’arrivée de son bon vieil ami de guerre. Bon pas si vieux que ça mais un avant midi ça suffit pour crée des liens parfois trop solide et la les liens il son du genre à se rapprocher. Bon option un partir comme un lâche pendant que le gentil russe mitraillait du regard 3 brave type qui avait l’air occuper a compter le nombre de cheveux qu’il avait sur le cuir chevelu.Option 2 rester là pour faire se qu’il était venu faire dès le début volée de quoi se nourrir ou peut-être un peu plus. Et finalement option 3 (euuuuuuuh bon bien tan pis pas de troisième option). Au moment de se lever Samaël regarda brièvement à quoi il ressemblait… Complètement ordinaire et en plus il était bien coiffé donc les chances de se faire reconnaître était quasi nul, à moins qu’à travers toutes les balles, les bombes et les voitures en feux, il ait pu voir en détail ses trais de visage. Samaël se leva dans l’idée de se retirer un peu du décor pendant que ça cible parlait au téléphone, mais contre toute attente lorsque la discutions fut terminé le Russe regardait dans sa direction avec une certaine curiosité, mais maintenant à la gauche de l’ennemi, la fuite était impossible.

Sur le bord de la panique, mais toujours avec le même visage faussement de bonne humeur Samaël fait le premier pas.
« Mmmm je ne croi pas que nous ayons le moindre lien ensemble, toutefois je me vois mal vous refuser une converssation si c'était votre but? Je vous paye un verre? »

Bizarrement Samaël n’avait plus l’impression que l’ivrogne était si sourd et dans les vapes qu’il en donnait l’air.

Djan se retourna vers l'homme qui venait de parler en sa direction. Mais, il ne semblait pas lui parler. non, il s'adressait à l'autre homme à ses cotés. D'ailleurs les deux hommes un à coté de l'autre donnait vaguement l'impression d'avoir affaire à des As de l'Arnaque.
Comme lui.
Il bu sa dernière gorgée, qui ne lui fit aucune effet puisqu'il était bien moins semsible à l'alcool qu'il n'avait laissé paraître.

"Hein, Koi? Vous m'avez parl...hic(!)...é?"

Il vit le visage de l'homme lui répondre muettement. Il donna un violent coup de coude à son voisin.

"HEY, je crois qu'il vous parlait! (hic(!))"

Là encore, le visage de l'autre homme lui répondit pareillement. Mais. Cette conversation l'intriguait alors il continua d'improviser, sa façon de créer, de s'immiscer.

"Et puis de toute ...hic... façon, même si vous me parler, j'ai pas entendu donc ne vous ac...hic...charnez pas trop car..."

Il n'eut pas l'occasion de finir sa phrase car il tomba de son banc (en fait, il imita très bien l'ivrogne qui chute) et renversa son verre de Vodka sur le pantalon d'un des deux hommes[Choisissez!].

"Oups! Vous savez, la vodka, ya qu'ça de vrai, mais j'ignore si ça ...tache...

Il haussa la tête vers l'homme pour voir sa réaction, car après tout, il existe toujours des gens imprévisibles,lui-même se contentait souvent de rire dans se genre de situation.

La Vodka s'éclaboussa partout sur les pantalons de Dimitri. Il baissa les yeux, foudroyé, sur l'homme qui avait osé faire ça. Le pauvre petit soûlon de tout à l'heure... S'il avait été sur son territoire, ou déguisé, Dimitri l'aurait simplement fait payer comme le serveur de plus tôt dans la journée. Mais là, il n'était pas en position de le faire, sûrement pas, en tout cas, dans le casino de la ville! Son expression, jusqu'alors effarée, se changea en un espèce de rictus tordu représentant vaguement un petit rire coincé. C'était, comme qui dirait, le mieux que pouvait faire Dimitri pour l'instant... Il se recula lentement, les laissant seuls un moment, et décrocha son iPhone, composa le numéro de Nara.

"Nara, ici Mitia. Peux-tu venir me chercher au Casino? Merci, bye. Heu, prend la Maybach, ok?"

Après avoir raccroché, il se dirigea à nouveau vers le bar. Il s'adressa directement à Samaël.

"Bon, je vous connais toujours pas, mais tout ce que je peux vous dire, c'est: ne touchez surtout pas à la mallette que j'ai laissée là. Ce n'est pas mon genre de faire confiance à des parfaits inconnus, mais l'homme qui m'a dit de la laisser là semblait me dire que je pourrais peut-être vous connaître... En tout cas, merci pour le verre, mais disons que celui que j'ai reçu sur mes pantalons de lin et de soie m'aura découragé... Au revoir!"

Dimitri partit là, vers l'extérieur, en quasi-marchant, dans l'attente de Nara.

Samaël ne pus s'empêcher d'esquisser un sourire à la vue de l'ivrogne renversant son verre d'alcool sur les magnifiques pantalons de monsieur. Il restait maintenant plus qu'a voir combien de temps il restait à vivre à se pauvre idiot. (o que se passe 'il ça fait maintenant 15 seconde et le point du russe n'est pas encore partit... wow mais c'est sûrement qu'il n'est pas dans ça juridiction).Samaël sorti de ses pensés quand le russe lui adressa farouchement la parole.

"Bon, je vous connais toujours pas, mais tout ce que je peux vous dire, c'est: ne touchez surtout pas à la mallette que j'ai laissée là. Ce n'est pas mon genre de faire confiance à des parfaits inconnus, mais l'homme qui m'a dit de la laisser là semblait me dire que je pourrais peut-être vous connaître... En tout cas, merci pour le verre, mais disons que celui que j'ai reçu sur mes pantalons de lin et de soie m'aura découragé... Au revoir!"

Samaël ne comprenait plus rien le russe venait t'il vraiment de lui servir sur un plateau d'argent une valise précieuse, car il est évidant que si il me dit "n'y touche pas" ça veux dire prend la elle est à toi... à moins que le piège était justement de le lui dire ça en prévoyance à cette réaction donc il avait p-t placer une bombe dans cette foutu valise...( aaaaaaaaa pis de la merde) Samaël se dirigea vers la valise sans pote plus d’attention qu’il ne le fallait au tour de lui. Il empoigna la valise noir de sa main libre et se dirigea vers la sorti en laissant derrière lui un brave soullon qui l’avait bien fait rire avec son petit accident de pantalon. (tout de même de quoi j ai l’air moi une valise noir dans chaque mains une avec des armes et son argent de poche de l’année et dans l’autre sois une bénédiction ou bien de simple petit problème). À sa sortit Samaël cru voir au loin, entre quelques branche morte à terre, la demie portion de ce matin, (il me suis ou quoi celui là?). Toute fois son attention ce dirigea en direction d’une magnifique fille dont les cheveux blanc mi-longs encadrait parfaitement son visage asiatique qui n’avait que pour concurrence ça grâce. ( 1 point pour la belle inconnue, 0 pour Frozen le choix est clair). Toute fois tel un abrutie Samaël resta tout simplement planté là au milieux de l'entrer du casino, à observer cette ange venu du ciel.

Anthony était assis sur son tabouret, un cigare aux lèvre, malgré l'interdiction de fumer dans les lieux publics, et un journal déplié aux mains. Maugréan d'être encore pris à faire les boulos de soldat, maugréan de fumer ce cigare alors qu'il dédaignait le tabac, simplement parce que le Parrain lui avait demandé. Autant avait-il une confiance et une admiration absolu dans cette personne, autant il détestait ces petits boulos. Enfin, le contenu de cette malette devait être fichtrement importante pour qu'on l'evoie superviser! Son homme de main, un Capo, était au fil avec le Russe qu'ils avaient engagé pour le travail, un certain Dimitri. Soudain, Greycat remarqua une personne à la table, une personne qui figurait dans le dossier de la Cosa Nostra concernant Dimitri, une personne méconnaissable vu la chirurgie qu'elle semblait avoir subi, mais que certains signe lui laissaient des doutes sur son identité. Il contacta discrètement la serveuse vendue du groupe, pour qu'elle analyse rapidement les empruntes digitales de l'homme et les résultas furent convaincant. Il s'agissait bien de Samaël, le némésis de Dimitri selon les dossiers... Trouvant spirituel de faire une petite blague là-dessus, il contacta son Capo pour lui demander de l'inclure dans la lettre du paiement. Le reste se passa comme prévu alors que, pour brouiller les cartes, Greycat jouait sa dernière mise au Blackjack. Jouant tout l'argent qu'il avait sur lui, les premières cartes se passèrent, la carte cachée pour le croupier, un sept pour lui. Le sourire du croupier s'étira alors qu'il passait un as à Anthony et une figure pour lui-même. Le rythme cardiaque de Greycat s'accéléra légèrement le temps d'analyser la situation. Il avait soit 18, soit 8... le croupier, par contre, avait peu de chances d'avoir un as, étant donné qu'il venait d'en avoir un... Il continua. 21. Son sourire s'aggrandit en même temps que celui du croupier fondait. Son cellulaire sonna. Le Capo l'informa rapidement de la fuite de Samaël avec la valise. Il raccrocha, s'en allant du coup, alors que le croupier lui criait dans le dos pour qu'il prenne son argent.

[J'espère que mon post est correct! J'ai pris la liberté de rentrer directement dans l'histoire plutôt que de m'en faire une autre... j'espère que c'est bien comme ça! Sinon je le changerai! Merci!]

Sao avançait d'un pas rapide et sûr, elle était vêtue d'un uniforme d'écolière rouge vin et elle avait l'air d'avoir tout au plus 17 ans avec ses cheveux qui volaient librement dans le vent léger. Elle portait une jupe très courte qui avantageait ses jambes minces et bronzées. Sao eut un petit sourire en voyant la silhouette de Samaël qui s'était figé. C'était donc lui, le fameux Samaël qui était supposément mort. Sao avait observé les mouvements de Frozen attentivement, cette femme qu'elle considérait comme sa grande soeur et qui avait prit soin d'elle. Sao était intrigué par cet homme qui avait su capter l'intérêt d'Émilie, la Walkyrie au coeur de glace. Elle voulait savoir ce qu'elle lui avait trouvé et pourquoi elle l'avait accompagné si longtemp avant de faire sauter le bâtiment X sans même un regard en arrière. Cold Silver soupira. Elle sentait le poid de ses dagues à ses chevilles. Pour ajouter une touche particulière à son uniforme, elle avait mit une quantité inombrable de bracelets sur chaque poignet et des réchauds de laine entouraient ses jambes des chaussures aux genoux. Cold silver avait caché ses deux dagues dans les réchauds, étant Walkyrie, elle ne prenait jamais de risque. Cependant, elle n'aimait pas porter des vêtements long qui cachait sa silhouette. Sao se savait belle, elle voualit que tous le voient. Elle se dirigea droit vers Samaël avec un grand sourire innocent et à quelques mètres de lui, elle trébucha «malencontreusement» et s'étala sur le sol de tout son long. Lentement, elle se redressa pour rester assise sur le sol en se frottant l'arrière de la tête avec une grimace de douleur.
[Au fait, merci pour le coup de main, je cherchais comment je pourrais entrer dans l'histoire!
J'ai lu tous les postes concernant l'aventure du Parrain, de Samaël et de Frozen, c'est pour ça que ça m'a prit du temps avant de poster!]

Même de loin, Djan avait suivi l'homme qui venait de s'emparer d'une mallette. Le genre d'objet qui conserve un truc considéré comme, plus ou moins lucratif... Et puis il vit celle qui venait de voler le regard de mallet-man et suivi sa lente démarche jusqu'à sa chute au sol. Même un bureaucrate myope sans ses lunettes aurait tout de suite remarqué que la silhouette avait acté la chute comme au théatre. Le jeu était intriguant...
Il se trouva une porte d'entrée à la rencontre des deux jeunes-gens.Il s'avança vers Samaël:

"Tu ne lui offres pas un coup de main.... à la . gente demoiselle?"

Pour ne pas oublier son rôle se saoulon, il fit quelques gestes inutiles qui le faisait plutôt ressembler à un personnages de jeu vidéo qu'à ce qu'il était vraiment.

"Je t'expliques, les gentilhommes: comme toi, en pleine possession de leur moyen: comme toi, se doivent de venir en aide aux dames. Pas comme....moi, que ce soit clair!"

[Désolé si je brusque les faits, je cherchait un moyen de poster et puis tu arrives" Cold" alors c'est bien. Faut juste espérer une réponse qui ne tardera pas de la part de Samaël.]

[ton post est OK Greycat! ^^]

Dimitri était à l'extérieur. Satisfait. Un bon boulot. C'est tout. Il sortit son cellulaire de sa poche. En lien avec Nara.

"Alors, Nara, ce transport? Ça arrive?

-M. Vladislav... Nous avons de mauvaises nouvelles... Les pertes de véhicules durant la journée se sont dévoilées désastreuses, et étant donné que vous êtes de l'autre côté du cours d'eau, le Boss veut qu'on vienne en hélico. On va en avoir pour plusieurs autres minutes, et vous devrez aller sur l'héliport, au toit.

-C'est bon."

Légèrement frustré, il raccrocha. Au moment de mettre son téléphone dans sa poche, le téléphone sonna. Son employeur.

"Bonjour Dimitri. Je vois que vous avez tenté de nous baiser? Eh bien, sachez que l'enveloppe de votre paiement était piégé dans cette prévention... Adieux!"

De ses réflexes, Dimitri défit sa veste d'un geste brusque, le fourrant dans une poubelle et courant à l'intérieur. L'explosion le projeta en avant.

(Et merde! Maintenant, les flics vont se pointer!)

Il se releva et entra à l'intérieur. La mallette n'était plus là. En fait, elle était aux mains de l'homme à qui il venait de parler. Un bel éventail de gens étaient maintenant là... Une Walkirie, son employeur qu'il ne connaissait toujours pas, le saoulon et l'inconnu de plus tôt. Il s'arrêta, encore caché, par curiosité.

La belle et superbe jeune femme, qui venais de mettre k.o. la quasi totalité des fonction de Samaël, ce laissa tombé devant lui d’une manière souple et gracieuse( pincé moi quelqu’un c’est pas possible d’être aussi belle même en trébuchant). Au moment où ce dernier allait tendre la mains pour aider cendrillon ce relever la pince espéré arriva et de plus elle ne passa pas par 4 chemins. L’ivrogne venais de venir exploser sa bulle de bonheur en mille morceaux.

"Tu ne lui offres pas un coup de main.... à la . gente demoiselle?"

le point de Samaël avait tout à coup une envi folle de faire plus ample connaissance avec la mâchoire inférieur du savant qui venait de dire ça. Toute fois il trouva la force de ce contrôlé pour profiter de la situation pour regarder chaque détaille possible de cette ange sûrement cornu venu du ciel. Malheureusement le briseur de party ce remit de plus belle.

"Je t'expliques, les gentilshommes: comme toi, en pleine possession de leur moyen: comme toi, se doivent de venir en aide aux dames. Pas comme....moi, que ce soit clair!"

Samaël eu un sourire figer du gars qui aurais voulu être ailleurs. Il tendit quand même la mains après tout tant cas être les 2 pieds dans les plats autant continuer, mais avec fierté.
Maintenant la belle femme en danger sur ses 2 pieds Samaël fit le sourire qu’il savait le plus beau et dit en oubliant toute précaution de mise:

“Bien le bonjours ma chère dite le moi si je me trompe, mais il ne me semble pas de vous avoir déjà vue dans le secteur, car un visage comme le votre ne s’oublie pas. Mais voyons quel impolie je suis je me présente. Samaël pour vous servir mademoiselle...?”

En attendant la réponse de celle qui avait maintenant son coeur entre les mains, Samaël en profita pour ce perdre dans les yeux brun de la jeune femme devant lui.

[bon bien vu que je ne posterait plus ici la suite est au GUNZ pour ma part]

Greycat savait très bien que son paquet d'argent était piégé en précaution, mais il s'était quand même mis à courire, pour trouver qui avait volé la mallette. À bien y penser, ce n'était pas le paiement qu'il aurait fallu piéger, mais la valise... enfin... Il s'arrêta, en plein milieu d'une salle, une idée en tête, en voyant le voleur un peu plus loin, préoccupé par une dame qu'il ne connaissait pas de vue. Son Capo était partit. Il retourna sur ses pas, entra dans un couloir réservé au personnel, et entra dans une salle de sécurité de plus bas niveau. Un garde y était assis, regardant un match de football les pieds accotés sur son bureau, quatre autre écran étant des caméra de surveillance. Au bruit que la porte a fait en s'ouvrant, le garde se tourna juste à temps pour voir un pistolet silencieux pointé vers son front.

"Désolé vieux, j'ai rien contre toi."

Anthony tira. Il mit les vêtements du gardien, prit son arme et cacha le cadavre derrière un tas de coffres et de couvertures. Le temps que quelqu'un retrouve son corps toute cette histoire serait terminée, après tout! Il sortit à nouveau dans le corridor, se dirigeant vers le petit groupe de criminels dans le hall d'entrer. Il sortit son arme, rendu à une distance assez proche, et la pointa vers l'homme qui portai deux mallette. Prenan un ton professionel, Anthony lui dit:

"Monsieur, vous avez volé une de vos deux mallette, nous vous avons en vidéosurveillance. Ne tentez pas de nous échapper et rendez-nous cet objet pour que nous la remettions à son propriétaire légitime."

Tiens, et voilà qu'un autre homme arrivait.
Pour Djan, il parassait évident que cet individu ne présentait aucun aspect du gardien de sécurité de casino, il présentait son pistolet(?). Grave erreur. Les gardiens ne les pointaients que très rarement et, lorsqu'ils interpellaient quelqu'un (comme dans la situation actuelle), ils étaient toujours deux ou trois, question d'intimider le suspect. D'ailleurs, le relayage de poste de gardiens s'était effectué au même moment où Djan s'installait au bar pour étudier les habitudes de la sécurité et il n'avait aucun souvenir d'avoir vu ce mec faire parti du reste du lot. Conlusion:
50%de chance qu'il soit un gardien. 50%de chance. imposteur.
Sauter au conclusion était toujours difficile, Djan choisi imposteur car cela signifiait que la valise avait un contenu louche et/ou précieux. Ce qui veut dire qu'il pourrait lui aussi en tirer profit.

Boum(...)

Une pensée lui vint à l'esprit:(c'est le son d'une explosion ça!)Et puis une autre. Révélatrice:(Explosion=police)
Djan se laissa tomber d'une manière peu commune sur l'épaule de celui qui se faisait menacer et lui dit d'une voix forte: (Toujours à la manière d'un saoulon)

"Ce mec là ne travaille pas...ici..."

Maintenant, il venait surement de se mettre à dos le mecton qui menacait le monsieur à la mallette, mais en espérant que celui à qui il venait de parler était un homme intelligent qui remarquerait qu'il était sérieux(il s'était aplati sur l'homme pour qu'il constate que son haleine n'empestait en aucun point l'alcool.) [ça ne veut surtout RIEN DIRE...]
Si Djan avait raison, et qu'il était témoin d'un démelée entre deux individu de le Haute-criminalité, il pouvait peut-être se sortir d'ici avec une partie de l'énigmatique malllette.
Djan n'aimait pas la violence, ou du moins, il n'aimait pas en faire partie mais savait apprécier un bon film d'action.

[j'espère que ça ne dérange pas si j'ai établi des habitudes au gardes de sécurité]

Dimitri vit passer Haraguchi à son côté, redoutant un instant qu'elle ne le voie et, lorsqu'il fut sûr qu'elle n'était plus là, il se retourna lentement afin de jeter un oeil à la situation. Debout, au centre d'un étrange petit groupe, se tenait l'homme qui avait pris la mallette, qu'il avait d'ailleurs encore dans la main, agrippé par une jolie demoiselle que Dimitri identifia immédiatement comme une membre des Walkirie, et par l'homme saoul qui ne le semblait plus autant. Les menaçant, se tenait un garde de sécurité, qui ne semblait pas particulièrement à sa place dans cet événement, et maintenant, Haraguchi, qui venait de se placer aux côtés du gardien, un peu en retrait, et qui, comme Dimitri, ne semblait pas percevoir la supercherie. Réfléchissant très rapidement, le Russe se rappela que son transport devait arriver par le toit, et que le seul accès à l'ascenseur était de passer devant le groupe. Quitte à cela, Dimitri pouvait rentrer à pied, mais les policiers surveillaient probablement tout ceux qui sortaient, ou il pouvait passer par le groupe, prenant le propriétaire clandestin de la mallette avec lui. Après un instant, il opta pour la deuxième option. Surtout, par contre, pas de violence. Il prit une grande respiration et, sortant de sa position, se mit à courir. Fonçant à toute vitesse sur son protagoniste, il bouscula au passage les deux personnes qui lui tenaient le bras, prenant le bras gauche de l'homme au passage. Sans s'arrêter toutefois, il continua vers l'ascenseur, s'attendant à recevoir la riposte d'un instant à l'autre. Appuyant directement sur le plus haut bouton, il attendit avec appréhension que la porte coulissante se ferme, ce qui prit un certain temps. Une fois assuré que tout était sécuritaire, le mafiosi se tourna vers l'homme, lui jetant un regard du type: "Tu ferme ta gueule connard", et saisissant du même coup une des deux mallette, au hasard, la brassant pour entendre le bruit d'un frottement, croyant à la bonne sans même l'ouvrir. Au-dessus d'eux, les hauts-parleurs diffusaient une douce musique dénuée de rythme, contrastant énormément avec la situation.

[En passant, j'avais pensé que la valise qu'il a prise pourrait être la mauvaise]

Tout doux sur la bousculade. Tout les jours on reconcontrait des gens plus malades que soi, et en ce moment c'était le mec qui partait avec les belles valises de l'autre mec. C'est l'évenement qui a fait détoner le petit groupe avec qui il se tenait. Il devait dégager, et puis il vit une femme, qui les regardaients et se dirigait vers eux. Elle avait la démarche du flic coincé, ce qui confirma ses doutes quant à: il fallait dégager!

"Désolé vieux, j'me barre."

Dit-il à celui qui lui servait d'accoudoir depuis le petit accrochage[Samaël].Et puis il se détacha du groupe. Il vit la femme le fixer mais il s'enfui asser vite de son regard en se melant a la foule. Mais, en fait, des policiers et des agents de sécurités du casino attendait les visiteurs à la sortie, il ne laissaient sortir personne sans vérification(putain, l'explosion!).
Il sortit un paquet de gomme de sa poche et en entama une avant de la laisser sous une table, et puis une autre et une autre et en garda une dans sa main en se dirigeant vers la sortie.

"Sa va faire boum."

Se dit-il entre les dents, la seconde d'après, une explosion provoqua une forte lumière et un bruit d'enfer, et à quelques secondes d'intervalles, les autres explosèrent. L'effet fut immédiat, des femmes hurlèrent, plusieurs joueurs se couvrèrent les yeux et tous se ruèrent vers la sortie. Djan se laissa emporter par la vague et couru vers l'extérieur. Les gardes ne résistèrent pas à cet assaut.Il fut dehors dans le temps de le dire.
Espérons que le bruit et les lumières auront pu aider ses deux connaissances qu'il venait de quitter.

Toujours l'arme pointée sur sa cible, Greycat eu un tic lorsque Samaël se vit adresser la parole par ses compagnons. Soudain, la porte du fond du hall s'ouvrit, laissant passer Haraguchi, sur les nerfs. Se plaçant directement à côté de Greycat, ce dernier, l'ayant reconnu, était en train de réfléchir à un plan de sortie si quelque chose d'imprévu devait se dérouler. Quelques secondes encore, la situation empirait de par son mutisme. Au paroxysme, Greycat s'emporta:

"Allez donne moi cette mallette, c'est un ordre..."

De la même place d'où provenait Haraguchi, maintenant venait Dimitri, saisissant au passage son interlocuteur, la situation semblant faire un arrêt sur image pendant quelques secondes, le temps qu'il reparte vers l'ascenseur accompagné de Samaël. Pantois, il se tourna vers Haraguchi, pour l'urger de les rattraper, tout en lui permettant ainsi de s'enfuir:

"Vite, ne les laissez pas s'échapper! La mallette contient l'argent de l'un de nos gros joueurs, ce serait un désastre de la perdre!!"

Sur quoi Haraguchi partit à la hâte, tandis que des policiers accouraient dûs aux plus récentes explosions qui venaient de se produire sous quelques tables. Il sortit, puis, une fois dans sa voiture, se dirigea vers un petit port, au nord de la ville.

[i] Karl sorti de son véhicule, souffla et se lissa les cheveux avant d'entamer sa besogne. Il avait été mis au courant des événements qui avaient lieu au casino et c'était dépêché de venir. Ses affaires avec le proprio du Casino étaient fluctueuses et il observait bien les conserver intactes.
Si c'était bien des agitateurs provenant de la pègre, il aurait tôt fait de maitriser la situation.
Il endossa sa chemise d'inspecteur et franchi la ligne de voiture de police obstruant l'accès au parking, et par la même occasion, ne laissait filtrer aucun clients duu casino. La plèbe avait été affolée par ces quelques bombes, et les quelques policiers qui tentait de maitriser la situation, laissait filtrer u compte-gouttes les clients après une seconde vérification des papiers.
Il ne laissa pas le temps de parler à l'officier qui accourut vers lui pour lui exposer un sommaire de la situation:

"Dissipez vos troupes, je viens d'entrer en contact avec Hilbert, il ordonne une évacuation de toutes forces de police sur les lieux. La sécurité du Casino s'occupera du reste.

-Bien monsieur, mais si je peux me le permett...

-T'as pas le temps pour aucun commentaires, ptit merdeux. Au travail!"

Les clients du casino prirent quelques minutes à sortir au complet du casino, pour ensuite se diriger vers leur voiture et laisser les gardiens de sécurité barrer les portes pour ainsi, laisser le temps pour effectuer quelques réparations.
Karl entra dans la grande salle pour découvrir une inspecteure qui cherchait encore les 4 suspects qu'elle aurait bien voulu appréhender, mais qui s'était professionnellement évaporée lorsque le flot de personnes sortant du casino s'accéléra brusquement. Il parla brièvement à celle-ci et ommis de lui dire que c'était lui, la cause de son échec. Il préférait laisser à Hilbert le soin d'expliquer à cette furie qu'un inspecteur avait ordonné le renvoi des troupes sous ses ordres. Bien sure qu'hilbert obtempérerait après la somme que le propriétaire allait lui envoyer, dans quelques minutes.
Quelques minutes plus tard, Karl sorti du bureau du propriétaire après avoir longuement verifié si toutes activités avait été mise à jour par la police, lorsqu'elle avait envahie le Casino. Comme il prévoyait, rien n'avait filtré. Il avait aussi expliqué qu'il faudrait faire parvenir une somme à Hilbert pour que celui-ci falsifie quelques données et explique les gestes que lui-même, Le Parrain, avait posé.
En somme, il avait conclu la soirée du casino.

[Ça ca veut dire: vous êtes tous tirés d'affaire (sauf Greycat, qui est précédement parti avec la valise) et partez un autre sujets!]