le petit parisien

Aaaaaaaaa les français tout tourne toujours autour de la bonne bouffe. Pour preuve le premier étage du QG est occupé par le resto le plus chic du cartier(je vous conseil di aller aux moins une fois si vous avez de l argent et pas de problème avec les français car sinon votre plat risque d’être le dernier que vous aller manger.). Toute fois le restaurent es une superbe protection car les serveurs non pas vraiment de talent dans le domaine de l’hôtellerie toutefois les six coups qu’ils ont dans leur tablier leurs sont très pratique.
Toute fois si vous avez un rendez-vous avec une des haute sphère de la mafia aller voir le grand baraquer a coté des cuisines il vous mènera a un ascenseur (faite attention c’est peut-être pas par le magnifique restaurent "le petit parisien"que vous allé revenir de votre rendez-vous….)

[Suite du Blue Eyes]

Quelques heures après l'incident du Blue Eyes, n'importe qui, petits et grands, hommes nets et hommes un peu moins nets, (Nous utiliserons le mot ''populace'' pour simplifier la chose,) avait accès à tout détail qu'un simple journaliste avait les facultés de relever. En effet, dans un monde où la télévision, la radio et les journaux distribuaient toute information, corrompue ou non, à la-dite populace, il devenait aisé de se renseigner.

Pourtant, Ladro éprouvait un réel dégout pour tous ces systèmes, qualifiés de ''Propagantistes de propagande'' par lui-même. Seulement aujourd'hui, il mit ces sentiments de côté et s'acheta le bout de papier qui lui révélerait sûrement ce qu'il voulait savoir. Avec une impatience dépassée seulement par la maladresse qui l'habitait, Ladro tourna les pages tout en arpentant la rue menant au restaurant Le Petit Parisien. L'affaire semblait être passée plutôt inapercue, car l'article la concernant était l'un des derniers. Lorsqu'il le trouva enfin, Ladro s'arrêta, empris de la plus grande perplexité. Après quelques instants, il éclata d'un rire tonitruant, un rire sadique, un rire démentiel. ''Les gens le regardaient comme s'il était possédé?'' Soit. Il n'avait que faire de ces rebuts, car il venait de recevoir la meilleure nouvelle de sa journée: Ce tueur avait un sacré humour!!! Il espérait que le dénommé Samaël en avait tout autant, car dans le cas échéant, ce-dernier et lui-même allaient bien s'entendre!!

C'est donc dans cet état d'esprit, le coeur léger, que Ladro pénétra dans le restaurant français. Dès la porte passée, il sut qu'il ne s'était pas trompé. Attablés devant des mets dépassant l'entendement, des français en costard se payaient du bon temps. Perdu dans sa contemplation, Ladro ne perçu pas le serveur qui s'approcha de lui.
''Monsieur désire-t-il une table?'' lui demanda-t-il, une expression de dégout imprimée sur son son visage.
Ladro se contenta de répondre d'un signe de tête, s'examinant pour déceler la source du dégout en question. Il remarqua vite qu'il avait oublié de se changer: il portait toujours son manteau gothique. Pendant que le serveur se retournait pour lui ouvrir la marche, il prit la croix gothique qu'il portait au cou et la glissa sous sa chemise. Il préférait ne pas trop attirer l'attention sur lui.

Une fois bien installé, Ladro héla le serveur: il était temps qu'il apprenne des choses sur ce Samaël.
''Auriez-vous l'obligence de me dire où je pourrais trouver un dénommé Samaël?''
Le serveur parut choqué par la question, mais répondit qu'il ne connaissait personne de ce nom.
Ce serveur savait quelque chose, Ladro en était sûr. Il glissa son couteau vers l'extremité de sa manche, de manière à ce que seul le serveur puisse l'apercevoir.
''Voyons, je suis sûr que vous trouverai bien quelque chose à me dire.'' lui dit un Ladro affichant un sourire narquois.....
À cet instant, le serveur aussi bougea son bras de manière à montrer quelque chose à Ladro....... Le sourire de celui-ci disparut aussitôt.
Devant lui, le serveur le menacait d'un six-coup. Ladro regarda autour de lui: tout les serveurs s'était arrêtés, presque dans la même position que le serveur devant lui. Le tout sans éveiller la suspicion d'aucun des clients du restaurant........... Aucun doutes, ces ''serveurs'' n'étaient pas des bleus.
D'une voix à peine assez forte pour Ladro l'entende mais empreinte d'authorité, le serveur lui intima de sortir et de ne plus revenir.
Ladro venait de perdre sa seule piste. Abbattu, il décida d'attendre que le tueur aux explosifs refasse des siennes.

[Prochain post à l'Underground Café]