Le toit

Le toit du bâtiment X est aussi vaste que l'immeuble en tant que tel. Grand carré, il a cependant plusieurs toits surplombants. Le plus haut, et aussi le plus étendu, fait office de stationnement. Un orifice béant laisse la place à une vue magnifique, différente de chaque côtés: du point Nord, la rivière, du Sud, la civilisation bordée de loin par la mer. Des deux autres côtés, on peut apercevoir le boulevard Eiffel, avec son imitation de la Tour du même nom, et finalement, le quartier des Yakusas, avec ses immeubles à l'architecture Japonaise. Sur les bords du gros carré, on peut rejoindre les autres aires de services, réservées aux potentiels employés de l'entretien, grâce à quelques échelles de fer noirci. Les lignes jaunes n'ont pas eu le temps d'être imprimées sur le sol du stationnement.

"ouh la, on est mal!" dit Karl
"la voiture peut supporter une grande chute... mais une immense, il faudrait un miracle."

Or le miracle, il allait se produire. C'est juste qu'il ne savait pas encore comment. Tout un problème.
Le toit était particulièrement dénudé de tout objet pouvant possiblement servir à une chute mortelle. Tout ce qu'il trouva fut une barre de fer... ce qui ne ferait qu'accelérer la descente. Et puis se produisit la première secousse. Et la vue commune de Karl se retrouva arquée de peu, mais asser pour déduire que le batiment s'effondrerait. Une idée traversa son esprit. Le batiment tombe d'un coté distinct...
Il se précipita vers la rambarde du toit (du coté sur lequel il penchait) Il y avait un autre batiment, avec une voie pour voiture qui longeait lle coté opposé. Parfait.

"Sama...ël!!! (il se rappelait du nom), grimpe dans la voiture!" Karl s'installa du coté du conducteur et se retourna vers son compagnon.

"J'ai mes deux pieds sur les pédales et la main sur le volant. Toi. tu embraye les vitesses, on forme une équipe dorénavant. "

Celui-ci s'accomplit et permit à Karl de positionner la voiture vers l'autre batiment, le seul problème était que le batiment tanguait et il devait conserver un pied sur le frein.
La deuxième et redoutée secousse se produisit et Karl cria à Samaël d'embrayer en même temps, le batiment commença à tomber et la voiture se retrouva entre la masse géante qui s'écrasait et l'autre toit où ils allaient atterir, pourvu que ça marche...

Karl était allé voir un des côtés de la bâtisse ce lui qui penchait après cette terrible explosion que Samaël aurait espéré la dernière mais par connaissance de cause il savait au son que, malheureusement, la déflagration était imminente. Avant que Karl se retourne avec une idée surement suicidaire donc pou sauver du temps et sa vie, Samaël s’installa côté passager dans la petite voiture mal construite et beaucoup trop vieille. Il prit la cigarette un peu mouillé de sa première baignade matinal. Il s’était promit de fumer ca première cigarette pour jour il croyait qu’il allait mourir et... (Je n’espérais pas la fumer aussitôt, car la si on sent sort...). Samaël sortit son beau petit briquet en plastique bleu transparent acheter au dépanneur du coin en bas de l’immeuble sur le quelle ils allaient s’écraser.(merde plus de gaz.. bon Ba mon heure n’est pas encore venu fo croire) pensa-t-il avec un sourire. Karl rentra dans la voiture et à 2 ils réussirent à démarrer. Les roues de la Renaud décolèrent du toit. La vitre arrière de la voiture explosa et les flammes pénétrèrent dans l’arrière de l’habitacle. La bâtisse en fait se qu’il en restait finissait de s’effondré dans un nuage de flamme. Après 10 seconde de vol planer enfin les roues touchèrent le toit voisin ainsi que le reste de la voiture qui oublia de se redressé pour évité de s’écraser à l’atterrissage. Samaël sortit la voiture qui avait du batre son record d’émotion forte et lui aussi d’ailleurs. Il se retourna vers la bâtisse ou plus tôt l’ancien emplacement de la bâtisse.(putain même moi j’ai jamais fait une bombe aussi destructrice la si j’avais un chapeau je le lèverai bien pour le cinglé qui la fabriqué)

« He Karl si ca te dérange pas moi je n’ai pas encore déjeuné donc bon appétit et peut-être a une prochaine fois a oui désoler pour ta voiture salut » dit-il en levant la mains.

Samaël partit donc vers la sorti en boitant le veston complètement en lambeau et avec sa valise bourré avec les vêtements de bon goût des Wings tendance.

Tenta de sauver le reste de sa carcasse de Renaud en ouvrant poliment la portière qui li resta malheureusement dans les mains. Il se leva solonneloement et replaca la porte dans son habitacle, ce qui provoqua l'effondrement du chassis de la voiture. Et puis merde!
Il lanca la porete de coté et ratrappa Samël avant qu'il ne s'éloigne, lui donna une carte du Casino où il avait écrit à l'endos son numéro de téléphone à domicile, car il avait bien un chez soi. (il avait un portable aussi, mais ça c'est pour les intimes)

"Avant ton départ, tu me dois un service, c'est comme ça que ça marche ici, alors soit prêt. Un jour du va recevoir un appel de ma part, surtout, réponds si tu tiens à ta vie. "

Il reprit son souffle et regarda dans les yeux de Samaël

"Si tu dois te faire soigner, appelle-là." Il gribouilla un autre numéro
" C'est une de mes connaissances. Je l'aurai averti d'un futur client et il t'acceptera.
Bon vent...vieux."

Et il s'en alla de son coté...

Après avoir titubé de ruelle en ruelle pour passer le plus inaperçus Samaël trouva enfin un téléphone public pour appeler son futur médecin de famille. (Aaaaa merde pas de 25 cents pourquoi je m achète pas des cellulaires résistant a l’eau aussi), après 15 min de recherche a terre enfin il pu appeler. 3 heures passèrent, Samaël eu le temps de se faire soigner refaire le plein de vider son compte de banque avant que les farnçais le ferme,d’arme, avec en plus des arme habituelle un magnifique petit silencieux, le tout couta 1500 petit beaux dollars et pour finir Samaël échangea son costard en pièce pour une chemise a manche longue un peu évaser et des pantalons en lin noir. Ayant comme seul adresse celle du casino Samaël décida de ci rendre. Il débarqua du taxi qui venais de le laisser devant l’entré du magnifique batinent des bouffes fric.

[prochain poste casino]