Le Moyen Orient

Petit salon de thé traditionnel, le thé qui y est servit est fait à la main par une vieille femme laide aux doigts noueux, mais, contrairement à celle qui le fait, il est merveilleusement délicieux.
L'arrière boutique est cependant réservée aux clients spéciaux (j'entends par là la Triade). La propriétaire de la boutique, une femme d'apparence bienveillante et innocente est en fait une fabriquante de poison qui fournit la Triade.

PNJ Nombre de messages : 7 Date d'inscription : 14/06/2008

Confortablement assis à sa petite table, buvant de manière hautaine et prétentieuse son simple thé, Charles laissa échapper un soupir satisfait. Lui qui ne désirait que le calme était enfin servit. Il pris une petite gorgée de son thé au jasmin avant de poser sa tasse sur la table et se perdre dans la contemplation de la décoration traditionnelle chinoise qui était à la fois apaisante et impressionnante par ses détails indubitablement époustouflants. Il ne restait plus qu'à espérer que le calme ne soit pas dérangé... Ce qui relèverait du miracle étant donné qu'il est recherché...

[suite de GarkenPark]

Enfin Samaël pouvait s'asseoir et se reposer, car son avant-midi n'avais pas été des plus tranquille. Il avait du parcourir les 2 grande île au complet pour trouver tout le matériel qu’il avait besoin pour fabriquer les prochain explosif qu’il utiliserais, car cette fois si pour mener son projet à bien il ne pourrais se contenter des simple et microscopique explosion qu’il avait crée la veille. Toute fois il n’était pas si dure de trouver une bonne dose de C4 se qui avais été un peux plus complexe cela avais été de trouver un stationnement tranquille loin de tout le monde, mais en général à croire qu’ils s’était donné rendez-vous, partout où Samaël s’arrêtais le stationnement virais en cour d’école pour les gagnes de rue qui aimais un peux trop l’odeur de la poudre et du sang(si au moins il prenais la peine de viser quel bande de crétin). C’est comme ça que Samaël était assis bien confortablement avec un thé à la main et un petit sac à dos acheter un peu plutôt pendouillais à sa chaise. C’est alors que entraver l’opium qui flottais en l’air qu’il cru voir le grand fendant recherché. (merde où j’ai flanqué cette ptin d’arbalète bon bien tanpis si moi je ne peux avoir cette prime personne ne l’auras). Samaël laissa 13.48 pour les thés excellant qu’il avait commandé. Samaël enfourcha sa moto et avant de partir enclencha le détonateur longue porter. Dans le petit resto un simple déclic se fi entendre et à l’intérieur du sac à dos que Samaël avait laissé sur le chaise un chronomètre parti plus que trente seconde.

Admin Nombre de messages : 70 Age : 32 Date d'inscription : 30/06/2006

Dimitri fulminait. Il fulminait depuis déjà un bon moment, d'ailleurs. Assis sur l'un des sièges du Moyen Orient, lisant un journal et regardant discrètement sa filature, il commençait à se demander ce que faisait bien cet homme depuis le temps qu'il était là. Soudainement, l'étrange homme finit par se lever puis s'en aller. Se levant en même temps que lui, le regard de Dimitri fût cependant attiré par un sac que l'homme avait laissé sur le banc. À peine le monsieur fut-il sorti de la pièce, le Russe se précipita vers le sac pour en fouiller le contenu. Avec horreur, il arriva au fond du sac. Il en sortit quelque chose qui le fit écarquiller les yeux. Un déclic se fit entendre en provenance de l'objet. Mitia fourra la bombe en hâte dans le sac, couru vers le bord d'une fenêtre et jeta le sac par-dessus bord. La fenêtre se brisa au même moment que la clientèle, pourtant sereine. Il sorti un pistolet, faisant ainsi crier quelques uns. Il y avait deux possibilité pour que l'homme ait placé une bombe ici. Soit c'était pour se débarrasser de lui puisqu'il l'aurait remarqué, soit c'était pour se débarrasser de la cible recherchée et qu'elle était ici.

(C'est complètement absurde qu'il m'ait remarqué, je ne l'ai pas vu une seule fois porter un regard réellement sur moi...)

Il retourna à la hâte vers sa table, qui était sur le bord d'une décoration en plein milieu de la salle. Il empoigna le paquet contenant l'arbalète puis sauta par-dessus le muret décoratif, atterrissant de l'autre côté en un roulé digne d'un film. La bombe explosa au moment où il était sur le sol, la déflagration ne l'atteignant ainsi pas. Le bâtiment gronda. Se relevant, il défit l'emballage de l'arbalète, qu'il tint à une seule main, visant de façon circulaire la salle. De son autre main, il se prépara à un assaut des forces des triades présentes. Heureusement pour lui, il n'y avait pas de réunion aujourd'hui, aussi allait-il seulement affronter une légère force de garde. Son patron allait sûrement pouvoir le défendre aux yeux des triades, les deux mafias s'entendant plutôt bien ces temps-ci. Les premiers hommes arrivèrent. Sans leur laisser une chance, Dimitri tira trois fois, trois hommes tombèrent sur le sol, morts. Au fond de la salle, quelqu'un attira le regard de Dimitri. La personne correspondait au profil de l'homme recherché. Il vida son chargeur sur la dernière résistance, puis braqua l'arbalète, à deux mains, sur l'homme...

PNJ Nombre de messages : 7 Date d'inscription : 14/06/2008

Sa gorgée se bloqua soudainement dans sa gorge alors alors qu'il vit que l'homme qui foutait la merde dans le bâtiment braquait une arbalète particulièrement menaçante à son attention. En moins de temps qu'il n'en faut pour dire "Olympique!" Charles avait lancé la petite table qu'il occupait vriller dans les airs et se précipitait sur une porte avec un signe Chinois éclatant d'exotisme;

(Ce n'est pas le temps de penser à faire le touriste!) pensa-t-il.

Il conclua que le signe voulait dire "Employé seulement" et enfonça la porte pour se retrouver dans un pièce singulièrement étrange occupée pars divers asiatiques qui avaient délaissés leurs passionantes occupations pour une autre franchement plus passionante:
Le regarder, (bon ok. le dévisager)
Après une seconde de silence qui en parut une vingtaine, chaqu'un d'entres-eux commencèrent à lui crier dessus en mandarin [cantonnais, chinois?] mais ne parurent point vouloir recommencer lorsque qu'il virent le pistolet que tenait Charles.

"On parle tous ce language, n'est-ce pas?" Dit-il ironiquement

Il arracha un balais des mains d'un jeune homme (surement le concierge) et condamna la porte qu'il venait d'emprunter (du moins, si son système tient) avant de courir vers une autre porte qui l'emporta dans un escalier de secour sur la façade extérieure arrière du batîment. Il n'eut pas le temps de fermer la porte que deux hommes de mains Chinois posèrent leurs mains (drôles non?) sur son épaule. Et encore une fois, en moins de temps qu'il faut pour dire "Go Canada", Charles prit d'une poigne de fer une des deux mains et tourna celle-ci sufisament pour faire perdre l'équilibre à son propriétaire, qui passa par dessus la cloture pour aller s'écraser sur la bitume. Son ami vint vite le rejoindre avec l'aide d'un coup de pied que lui envoya Charles.
Ensuite, une poignée de seconde suffirent à Charles pour descendre lesdîtes escaliers et se retrouver à courir dans une ruelles.

Admin Nombre de messages : 70 Age : 32 Date d'inscription : 30/06/2006

Dimitri resta de marbre quand la table fût projetée sur lui. Il leva son pied et fendit le bois en deux, pour voir ensuite que sa cible s'était sauvée. Il courut vers la porte qu'il venait de fermer et donna un énorme coup de pied dessus. Un petit craquement se fit entendre, mais la porte resta fermée. Laissant échapper un juron dans sa langue natale, le Russe se précipita vers les portes d'entrées principales. Il descendit les marches à toute allure, pour arriver en bas, ne voir que des ruelles et une rue où sa cible ne se trouvait pas. Mitia retraça la sortie logique de la pièce où l'homme était entré. En toute logique, il ne sera pas resté à l'intérieur et aura évité les rues bondées où d'autres personnes le recherchent. Le mafioso opta donc pour la ruelle qui longeait les escaliers. Il se mit à y courir. Derrière lui, une énorme déflagration semblait avoir démoli les objets qui jonchaient maintenant le sol...

Une explosion forte et sonore retenti derrière Samaël. Il était satisfait la bombe avait bien exploser avec force et destruction le seul hic était qu’il était obliger de faire demi tour car malgré le magnifique son de l’explosion si la bombe avait explosé dans le bâtiment comme prévu il l’aurais entendu, mais le bruit aurait été beaucoup plus étouffé.(faut croire qu’il en a un qui a un QI supérieur a 70... dommage il aurait moins souffert s’il s’était contenter de mourir avec une charge de C4). Sur ce Samaël fit pivoter sa moto de 180 degré et parti en sens inverse coupant le chemin à une voiture qui heureusement pour lui avait eu son permis de conduire d’une autre façon que sami. Samaël fessai du slalome entre les voiture et bientôt vit o loin une foule qui bloquais complètement la rue. Au vu de la situation s’il ne trouvais pas une idée rapidement il serait obliger d’écraser des piéton pour passer... et des tache de sang sur une moto c’est long a enlever. Il opta donc pour son revolver qu’il sorti et tira dans le tas. C’est dans se genre de moment que l’on peu constater à quel piont l’être humain est lâche et ses air de je suis prêt à aider ne son que superficiel, car devant Samaël personne ne prenais la peine d’aider le pauvre innocent qui venait de se prendre 3 balles, puisque tout le monde était trop occuper à prendre ses jambe à son coup et libérer le passage. Samaël ne ralenti pas au moment de passer sur le corps de sa victime qui devait de tout façon avoir déjà rendu l’âme (enfin je l’espère pour lui) et continua son chemin jusque devant le café la façade était fumant et les brique avait du mal a tenir 2 ou 3 cadavre jonchais le sol, du moins c’est se que pouvais en conclure Samaël d'après les morceau qui restais. Sami n’arrivait pas à voir clairement à l’intérieur de la bâtisse, mais il se doutais bien que si la bombe avait explosé dehors la personne qui l’avais déplacé avait sûrement compris qu’il valais mieux partir d’ici. Toute fois Samaël aimait pas faire les chose à moitié c’est pourquoi il balança 3 grenades a fragmentations à travers la vitrine. Il regarda autour de lui et remarqua une petite ruelle... logique il s’engaga à l’intérieur à une bonne vitesse et se leva un peu pour voir s’il pouvait apercevoir quelqu'un et à la vue d’un costume noir qui courait tout seul il en conclu qu’il devait y avoir quelqu’un dedans. La cible était loin difficile de la viser avec une seul main Samaël commença donc une manœuvre pour se lever debout. Il se mit d‘abord a genoux sur le siège de la moto puis un fois stable enleva sa main de l'accélérateur et le remplaça par son pied il avait maintenant les 2 main libre et fonçai en ligne droite à genoux sur sa moto les bras bien tendu en avant de lui visa puis tira en direction de l’homme qui au fur et à mesure se rapprochais lui rappelais une personne qu’il est sur d'avoir déjà croisé. Quelque seconde plus tard un Klaxon sortit Samaël de ses pensés et remarqua enfin qu’il était en train de traverser une grande route sans avoir le moindre contrôle...

Nombre de messages : 16 Age : 31 Date d'inscription : 13/06/2008

Au volant du véhicule dont le titre de ''voiture'' avait était injustement attribué, Ladro pestait sur la manufacture japonaise. L'idiote à qui le véhicule en question appartenait aurait pu être une de ces pleines aux as, se déplacant avec aisance et snobisme au milieu de la foule de lambdas, mais non! Ladro était tombé sur une femme assez suicidaire pour rouler en Honda Civic! (D'ailleurs, tout le monde savait que ''Honda Civic'' en japonais se traduisait par: ''Boîte en carton sur roues!)
En fait, Ladro ne préferait pas les riches aux pauvres, tous étaient la même vermine pour lui. Seulement, quand, à l'occasion, la richesse et la qualité pouvait lui rendre service........ Hé bien, comme on dit, on ne refuse pas l'aide d'une succube! Hahaha. Ladro la trouvait bien drôle, celle-là. Pendant qu'il ''apprenait'' le japonais et qu'il inventait de nouvelles expressions, Ladro était arrivé au Chinatown. La direction du sinistre n'était pas difficile à trouver, un pilier de fumée et de cendres emportées par le vent signalait aussi bien le désastre qu'un panneau qui aurait annoncé: ''Journalistes, Vampires et Autres adorateurs de sang, par ici la fête!''
Tout en se dirigeant vers la source d'émoi de tant de personnes, Ladro expliquait à la Honda comme on parle à un enfant:
''Tu vois tout ces gens, Vivic? (Je peux t'appeler Vivic, Vivic?) Ils sont d'origine chinoise. Lorsque leur peuple aura enfin le monopole de toute marchandise,........ Tu n'existera plus.''
Durant sa tirade monologuale, Ladro fixait et tapotait le volant, comme si des organes de sens s'y trouvaient.
''Mais ne t'inquiète pas, les Japonais seront de nouveau dans le coup lorsque le peuple chinois sera éteint, faute de femmes pour continuer leurs lignées.''
[Je tient à ce moment à préciser que, n'étant pas rasciste, ces propos ne
n'ont été écrits en aucun cas pour blesser d'éventuels Orientaux parcourant notre superbe forum.]
Très occupé dans sa converstion avec le quadrupède de métal, il va sans dire que Ladro ne respectait pas les limites de vitesse, pas plus qu'il ne faisait attention à ce qui pouvait bien se passer devant lui.
C'est pour cette raison qu'il ne vit la moto qu'à la dernière minute.
Sortant de la ruelle tel un ''Jack-In-The-Box'' [Désolé je n'ai aucune idée de la traduction française de ce mot Very Happy

] la moto semblait mouvée par un ressort géant. Mû par la seule chose qui lui attribuait toujours le titre d'humain, ses réflexes, Ladro eut à peine le temps d'éviter le motocycliste en donnant un coup de roue vers la gauche. Vers la voiture qui approchait à sens inverse à une allure un peu trop véloce à son goût, d'ailleurs. Heureusement, le conducteur de la-dite voiture braqua aussi, mais la collision était inévitable. Vivic percuta la voiture sur l'aile gauche de celle-ci. Ladro perdit le contrôle et la Honda partit valser sur le trotoir, fauchant ainsi un piéton au passage. Lorsque la voiture eut fini sa danse et qu'elle s'arrêta, l'home était coincé entre le mur et la voiture. Il avait sûrement les jambes en bouillie. Ladro avait beau détester les humains de toutes sortes, il n'était pas sadique il n'aimait pas voir le gens souffrir.
Il sortit donc le 5 coups qu'il avait toujours dans la poche intérieure de son manteau et visa le front de l'homme. Il vit la panique s'afficher sur son visage. Soudain, changeant d'avis, Ladro pris son couteau et trancha la gorge du pauvre monsieur, à l'endroit de la jugulaire. Sa besogne faite, il essuya son couteau sur la chemise de Sans-Cou (Son nouveau petit nom) et le rangea. Avant de sortir de la voiture, Ladro lacha un ''De rien'' et un petit rire. Une fois devant la voiture, il se pencha vers le capot de Vivic.
''Rendre l`âme dans le Chinatown...... Je t'avais bien dit que les chinois auraient raison de toi!!''
''Bon où en étais-je? Ah oui! Le malade à la moto! J'ai tout juste eu le temps d'apercevoir qu'il tenait une arme.......
C'est louche.....
Il devait fuir quelqu'un.''
Soudain, frappé par une quelconque illumination, Ladro s'écria:
''Maintenant que j'y pense, j'ai vu deux hommes traverser la rue juste avant l'homme à la moto. Et s'il les poursuivait? Ce n'est pas une piste géniale, mais c'est la seule que j'aille. C'est décidé, à la poursuite du malade à moto!''

[Prochain post: Toujours au même endroit!]

PNJ Nombre de messages : 7 Date d'inscription : 14/06/2008

Charles continua à courir même lorsqu'il traversa la rue achanlandée, après tout, il se faisait poursuivre et, connaissant sa malchance, il préférait se tenir loin de toute portée d'armes à feux et dans ce cas si; d'arbalète. Il sorti de ses réflexions lorsqu'un hurluberlu vetû d'un t-shirt "Anarchy", de pantalons d'armée et d'un collier garni de pic tout à fait grotesque trouva le moment "opportun" pour sortir de sa vieille Acura et l'interroger:

"C'est quoi ton problème, man?"

Voilà sa chance, Charles prit l'homme par son collier(rappeler ici qu'il s'efforce soigneusement de ne pas se piquer les mains sur les spikes) et lui fracassa la tête sur le capot de sa voiture. L'homme s'effondra. Charles entra prestement dans la voiture où il trouva deux autres gens tout à fait peu recommandable qui ne se firent pas prier pour sortir de la voiture.
Et voilà, il avait une voiture et fuiait son poursuivant, espérons que le taré qu'il avait eu la stupidité de laisser en vie ne jappe pas trop fort.
Hélas, de loin, Charles l'entendait crier:

"Un fou m'as piqué ma bagnole! Un fou m'as etc..."

Merde.

Admin Nombre de messages : 70 Age : 32 Date d'inscription : 30/06/2006

Dimitri, après avoir couru pendant quelques instants, voyait toujours l'homme qu'il poursuivait devant lui, mais loin. À l'intersection qui suivit ses pensées, le fuyard piqua une voiture. À ce moment, une balle vola près du mafioso, mais le temps que ce dernier se retourne, il n'y avait plus personne qui se tenait là. Il se remit donc en direction de l'intersection et, le temps qu'il mit à s'y rendre, le criminel était déjà loin. Cependant, sur place, un homme était là et criait au voleur. Écoeuré, Mitia, rendu derrière lui, sortit son pistolet et lui tira une balle dans la tête. Alors que l'homme s'effondra, le Russe se retourna et se mit à marcher dans la rue. Calant son veston Burberry pour se masquer un peu, il se fondit à la masse de plus en plus dense des gens sans histoire qui passaient d'un sens et de l'autre du trottoir. Il venait de perdre la trace de sa cible, et il était peut-être suivi, aussi, dès que Dimitri fût assez éloigné du Chinatown, il s'engouffra dans un café adjacent, qui se révéla être le Maugrind Café...

Il parait qu’au moment de mourir le temps ralentie et que pendant une fraction de seconde l’esprit humain pense a toutes sortes de choses, mais a des vitesses hallucinantes comme pour éviter de se rappeler que la faux de la mort découpe fil par fil la vie. Aussi la plupart des personnes revoient leur vie défiler, car en général ils préfèrent partir vers les cieux avec de beaux souvenirs en tête… quand ils leur en restent une du moins… et après tout cela vient la lumière au bout du tunnel. Tout fois qu’arrive t’il a ceux d’on même les porte de l’enfer ne voudrait pas les accueillir sous faute d’avoir été trop violent durant leur vie? A quoi pense les personnes qui n’on aucuns bons et agréables souvenirs a se remémorer avant que la mort est fini son travail? Samael était en train de l’expérimenté pour le moment il y avait une pause sur image quand une camionnette venais, a cause du carambolage, de le frapper sur le flan de sa moto. A plusieurs pied dans les airs Samael pensait a des chose qui lui paraissait un peu plus heureux que sa propre vie tel que la famine dans le monde ou bien l’assassina des frères Kennedy, mais le pire dans tout ça c’est qu’il était loin d’être le seul dans son espèce a mourir avec se genre d’image et c’est pour ça que maintenant une vrai question lui venait a l’esprit pourquoi eux? Après tout a quoi servait-ils? Pourquoi aimaient-ils a se point se job qui était plus une ou vie ou même une survie pour eux? Mais tant de question sans réponse surtout que le temps commençait à être long et cette soi-disant lumière rouge ou blanche qui était supposé venir le chercher? Bon oui il avait bien vue une lumière même deux, mais les phares de la voiture qui venait de le percuter il y a peine 0.01 seconde ne compte pas. Et la il réalisa que si personne ne venait le chercher c’est qu’il, depuis le début de son existence, fessait la bonne chose, car pourquoi enlever de terre la vermine, la seul vrai vermine qui était prêtes a faire le sal travail? Plus il y pensait plus le temps commençait a reprend le court normal et après se qui lui paru des heures son épaule alla se fracasser contre le sol, mais a l’image d’un cafard que l’on n’a pas bien écraser il se releva avec un souffle de vie nouveau et la confirmation qu’il était encore la pour rester tant qu’il ferais les basse besogne. Maintenant qu’il reprenait le peux d’esprit qu’il avait toujours eu il dégoupilla deux grenade et la balança sur le bouchon de voiture. Avant que tout n’explose il prit la sacoche, toujours avec un peut de c4 à l’intérieur, de sa défunte moto et alla convaincre de son révolver d’emprunter la voiture d’un charmant civil qui pourra aller se plaindre avec l’autre qui pleurait déjà pour sa voiture volée. Il déplia son plan et griffonna 3 carrés si c’est calcul était bon en allant tout droit il arriverait a destination pour pouvoir compléter le morceaux manquant. Il ouvrit la radio et tomba sur une belle chanson…
‘…entendez-vous le chique chique BOUM chiii une peut partout le…’

[underground café]