Le terrain de golf

Une piste de 18 trou d'un parfais chic.
Entouré d'une cloture non électrifiée, Le terrain est très facile coté entrer en douce. D'ailleurs, plusieurs personnes se rencontrent ici la nuit, on ne sait pas trop pourquoi mais on devine bien assez tôt.

[suite du QG russe]


Samaël ne pensait plus cas une chose une chose toute a fait normal pour un type dans sa situation. Il enrageait pour la simple et bonne raison que si la mission continuait encore un peu c’était certains il serait en déficit et ça il ne pouvait le supporter. Car c’est bien connu les employeurs français payent cher mais ne débourse pas un sous pour les déplacements ou les petits problèmes comme une moto neuve qui tombe dans un fleuve. La deuxième préoccupation de Samaël, le pêcheur, allais le ralentir et si par malheur il lui sauvait encore la mise durant cette course folle le portefeuille de Samaël et son orgueil allait en prendre un coup. Samaël et son conducteur de bateau couraient. Plus vite ils traversaient ce foutu terrain de golf, plus vite ils seraient débarrassés du Russe qui comble de malchance venait de débarquer d’un hélicoptère au loin. À l horizon enfin la bâtisse principale du centre de golfs, mais ils n’étaient pas encore arrivés. Samaël jeta un coup d’œil par-dessus son épaule et jura son incompétence du moment car pendant que lui et son plus où moins ami couraient a se défoncer les poumons tan disque l’autre les rattrapais peu à peu avec le kart de golf qu’ils avaient croisé plus tôt. Samaël, sans arrêter de courir pris une de ses grenades explosives et la lança à peu près dans la direction du petit motoriser qui était maintenant beaucoup trop proche. Il pouvait toute fois se rassurer encore 100 m et il était dans la bâtisse. Le pêcheur avait pris un peu d’avance donc c lui qui eut l’honneur de défoncer la porte du bâtiment. Une fois à l’intérieur, l’explosion se fit entendre. Samaël sauta par-dessus le comptoir,qui se trouve a droit de la porte d’entrée, pour prendre un bâton de golfs et il tendit celui-ci à son partenaire. Qui avait enfin le réconfort d’avoir une arme presque potable. Face à la porte d’entrée Samaël emprunta un couloir se terminent en 2 embranchements qui eux-mêmes se terminaient en cul-de-sac. Samaël n’avait plus le choix s’il n’y avait pas sorti, il en fabriquerait une. Il plaça une grande devant le mur et couru à l’autre extrémité du couloir. Il se tourna, s’agenouilla et attendit que son bruit préféré vienne le sauver une fois de plus.

Le parrain était en... pétoche mais aussi eternellement reconnaissant a ces 2 terroristes de ruelles d'avoir fait une entrée aussi Hollywoodienne durant sa partie de golf.
Il était en train de jouer à ce sport si ennuyant avec trois têtes fortes du marché occidental et il attendait que les grosses brutes les escortants se retournent pour qu'ils puissent tuers leurs protégés en paix et ainsi prendre leur place.
Et se retourner, disons qu'ils l'ont fait facilement ces chiens de poches, il y a un petit pétard qui saute et ils me font dos pour voir l'évenement de face. C'était tellement grotesques que je n'ai pas que tué les trois escrots qui jouait avec moi. mais aussi ces deux collosses sans perdre une goute de sueur.

Mais bon...

Cela dit, il était maintenant sur le toit du club et il regardait deux hommes se canarder. Un inévitablement fou et l'autre plutôt vengeur. (Le fou était d'ailleurs tout un phénomène.)
Des potes francais lui avait récemment communiqués que le boulevard voulait remuer le cul des Russes et qu'ils avait engagé un crinqué pour effectuer la besogne. Karl [eh! c'est le nom que se donne le parrain] reconnaissait de suite le fou en question parce que bon, evidemment l'autre homme était un russe, et les russes se soir ils tirent sur se mec. Faut pas être une lumière pour déduire...

(Je me bouge d'ici) pensa Karl
Il fallait bien qu'il fasse éruption dans la vie d'un de ces 2 hommes, parce que. bon, il est le parrain et il doit garder un certaine classes, et puis il veut souhaiter la bienvenue au nouveau.

Il se laisse glisser sur le toits et tombe en chute libre de quelques mètres pour s'écraser sur un murs écroulés. Il se lève et regarde de ou la bombe avait été jeté mais ne voit qu'une silhouette à travers la fumée...

Immédiatement après que le trou fut fait le pécheur couru comme un cinglé a l’extérieur pour bien se prendre une balle de silencieux. Surement le russe qui ce tenait pas trop loin.

(Je dois admettre que cette empoter m’aura été utile car cette balle m’étais destiner, mais le plus beau dans tout ça était que maintenant je n’aurais pas besoins de le payer. La vie est bien faite non?).

Toute fois la situation ne pouvait malheureusement pas continuer d’aller aussi bien, car un gars venait de rentré par le mur détruit et se ne devais certainement pas être le russe car Samaël aurait déjà la peau trouer. Le type n’était pas encore très visible, trop de fumer. Trouver une solution et vite il devait se dépêcher car déjà une autre ombre venait de se profiler dans le mur en flamme. Samaël allait devoir jouer le tout pour le tout de toute façons dans le merdier ou il était qu’il meurt d’une balle ou de une de ses grenades quelle différence? Il dégoupilla une de ses grenades et la régla sur le temps minimal ,3sec, mais garda la poigner bien fermer si les nouveau arrivant lui tirait dessus Samaël les amèneraient en enfer, car les 4 autres grenades explosives qu’il portait a la ceinture suffiraient à faire sauter tout le bâtiment. Maintenant place à la négociation qu’est-ce qu’il pourrait faire d’autre après tout au pire il mourrait, toute fois il plongera le russe et l’autre dans leur tombe.

-Faites gaffe un faut mouvement et c’est un voyage assurée pour nous trois en enfer compris.

Maintenant la fumer dissipée il pouvait clairement distinguer les 2 hommes qui lui fessait fasse. Il reconnu le russe, mais pas l’autre et c’est bien ça le problème car il dégagais une sensation d’éternel supériorité. Ce type devais sans aucun doute être très élevé dans la hiérarchie mais a que point? Il allait vite le savoir.

Dimitri franchit donc le trou d'un pas ferme, pistolet rangé. Accroupi au sol, il entreprit d'avancer un peu silencieusement. Malheureusement, son opposant lui appris que c'était inutile, en le regardant directement, une grenade à la main. Il se releva donc, essuyant son complet de la poussière accumulée depuis l'attaque de son QG. La sirène d'incendie hurlait son bruit strident tandis que les dispositifs anti-incendie crachaient leur eau dans tout le bâtiment. Là-haut, plusieurs employés se demandaient probablement ce qui se passait, déplorant leur matériel informatique détruit par l'eau. Au loin, on entendait des sirènes des forces de l'ordre qui se dépêchait d'arriver sur les lieux. Mitia regarda son adversaire dans les yeux et lui cria, au travers du couloir, pour couvrir le bruit de l'eau se fracassant au sol et celui de l'alarme:

"Qui t'a engagé pour faire ça? Raconte-moi tout et je te laisse en vie! Dépêche-toi! La police arrive!"

Croisant les bras d'un air supérieur, le Russe entendit un bruit qui le fit tourner vers le trou. Un homme venait d'arriver en plus. Dégainant son pistolet et visant le nouveau venu, il cria à l'intention de Samaël:

"Si c'est un de tes alliés, je vous tue tous les..."

Le denier mot se coinça dans la gorge de Mr. Vladislav.

(Merde! Qu'est-ce qu'il vient faire ici??? On avait déjà assez de problèmes sans avoir lui dans le coin! Tant pis, j'me tire.)

Se mettant à courir en direction des marches d'escalier derrière Samaël, Dimitri lui dit entre les dents:

"Je vais te retrouver, et tu vas passer aux toasts cette fois!"

Empruntant les marches, il s'enfuit vers l'étage supérieur. Dans les toilettes, un employé du lieu était en train de jeter son eau assaisonnée au café, résultat du dispositif de sécurité. S'approchant discrètement dans son dos, il l'envoya dans le monde de Morphée et traîna ensuite son corps dans une cabine. Il s'en faudrait quelques heures avant que quelqu'un ne le découvre, ce qui lui aurait laissé le temps de filer. Il se déshabilla et revêtit l'uniforme de l'employé, une veste rouge vin sur chemise blanche et pantalons noirs. Soudainement, l'eau arrêta de tomber, signe que les pompiers étaient sur place. Se dépêchant, Dimitri dut à son grand regret laisser son ensemble à 3000$, qui venait de rendre son dernier soupir sous l'eau pluvieuse dévastatrice. Il sortit par la porte et, alors que personne ne le regardait, vola une petite Honda Civic noire. En route vers son refuge. Et tant pis pour son costume.

[Prochain poste au Repère de Dimitri]

L’eau nous tombait dessus, les sirènes en bruit de fond étaient assourdissantes et le russe venait de déguerpir à la simple vue de cet homme grand peux bâtis mais pourtant très inquiétant. Que faire s’il attendait encore quelque minute la police serait sur eux et tout était foutu. Toute fois Samaël ne pouvait s’empêcher de se demander qui était se type pourquoi un type aussi acharner qu’était le russe avait fuit a toute jambe devant ce type.
Samaël remit la goupille et désamorça sa grenade regarda une dernière fois les yeux noir et sans état d’âme de ce type. Quoi que non il y avait une légère lueur d’amusement dans ces yeux. Samaël prit la direction de la sorti principal «la vrai» en ayant la ferme impression que ces 2 types allaient très fréquemment retentir dans sa nouvel vie qui venait de commencer dans le Los Andros... maintenant dehors le Boulevard parisien était seulement a 2min. de marche Samaël sorti sa grenade fumigène au cas où la police et les pompier lui porterais un peu trop d’attention ce qui ne fut pas le cas. Trempé jusqu’a l’os enfin il reconnaissait l’ambiance de «va la vie qui va » du chaleureux boulevard parisien. Maintenant direction la banque pour retiré les 25 000$ petits dollars qu’il avait durement gagner en fessant cette soi-disant mission toute simple et sans danger.....


[suite sur Le Boulevard Parisien]

Le parrain regarda nonchalament par dessus son épaule et se redressa les cheveux en soupirant.
(Ah les jeunes, toujours impulsif au maximum.) se dit-il.
Bon c'est bien de savoir qu'un de ses anciens potes était encore vivant, dans le fond, ca reste un connexion mais l'ambiance entre eux deux était quelque peu glaciale depuis peu.
Mais le nouveau qu'il venait de rencontrer avait quelque chose d'interressant, peut-être son air de faux patriote ou sa tendance à faire sauter son chemin a la place de prendre la porte,mais bon il avait le temps de faire les présentation.

Sur ce, il s'en alla.