Nom: Clemenzio
Prénom: Anthony
Surnom: Greycat (plus souvent) ou The BurgCat (pour Burglar Cat, mais moin souvent ce surnom la) ou parfois C
Âge: 21 ans
Apparence: Assez grande personne, aux cheveux noirs. Pour les boulos de la Cosa Nostra, il s'habille dans un complet digne du Parrain, gris-noir au rayures blanche, avec un chapeau pareil. Il a une belle figure, et il porte toujours une chemise endessous. Sinon, quand il bosse pour lui même dans des vol, il s'habille de façon commune, pour pouvoir se mêler dans la foule. Il porte jamais de gros ensembles noir moulant comme les voleurs dans les films.
Comportement: On peut presque dire que Greycat vit une double identitée tant il a deux comportements différents. C'est juste parce qu'il fais la difference entre le boulo et le privé. Quand il bosse pour la mafia, il fait ce pour quoi qu'il est payé, avec froideur, toujours avec le plus de publicité possible selon le contrat (grosse mitraillette avec exécution publique
). Sinon, lorsqu'il travaille pour lui ou avec des copains, il reste vraiment discret et ne tuera qu'en besoin sinon il utilise beaucoup de poisons dans ces moments.
Histoire: Né en Amérique, Anthony aura eu vraiment envie de visiter la Sicile d'ou il étais originaire durant son enfance. En effet, ses parent lui avait toujours dit que ses arrières-grand-parents étaient venus en Amérique durant la guerre mondiale pour s'échapper du phénomen grandissant de la mafia et de la dictature Italienne. Grandissant dans la misère de New York à laquelle il fut toujours habitué, Anthony se fit des amis dans des ruelles pendant les jours ou il aurait du être à l'école. Apprenant rapidement les base de la vie de ruelle, il devint rapidement le chef incontesté de sa gang, surpassant ses amis. Un jour qu'i volait un peu de nouriture dans le marché du coin, un marchant le pris sur le fait et l'emmena avec lui dans la boutique. Anthony se débatit de toutes ses forces mais rien ne fit. L'homme lui donna une fessée, sans émotion pour les larmes chaude de Anthony. Soudainement, le petit aggripa ses mains aux bras de l'hommes lui graffignant la peau, laissant de longues traces rouges. Au cri de l'homme, il se libéra et s'enfuit en courant. Derrière lui, déjà, il pouvait aperçevoir un policier lui courir après. Ses larmes avaient cessé, il ressentait trop de peur pour ça. Il couru, couru, couru dans les petites ruelles de New York, sa ville adoptive, puis à un moment, alors qu'il tourna le coin, il se figea net. Un homme se tenait là, debout, un sourire énigmatique aux lèvres. Anthony leva haut la tête pour regarder l'homme lui sourire puis, en entendant les bruits de pas se rapprocher, le contourna et se cacha derière une caisse de bois qui étais la. D'un petit trou au traver, il regarda la scène qui se déroula, et qui marqua à tout jamais sa vie. Le policier arriva. L'homme était resté là. Le policier se figea net. Il sembla fondre en reconnaissant l'homme, qui lui offrit de l'argent, que le polcier refusa d'une voie tramblante, avant de partir. L'homme le regarda partir, puis revint vers Anthony, son même sourire mystérieux au lèvre. Quand l'homme lui demanda pourquoi il avait volé de la nouriture, Anthony décida de lui dire la vérité. Il lui expliqua que l'école ne l'avait jamais intéressé, qu'il vivait dans la rue avec ses amis à la place, que sa mère était très malade, mourante, couchée dans son lit à journée longue, que son père travaillait fort pour rammener de l'argent, à peine pour payer un peu de nouriture à sa mère et le cout de leur appartement... Alors, l'homme, sans perdre son sourire, le rammena à la maison. Son père, qui était déjà rentré ce jour-ci, ouvrit la porte et sembla blêmir de frayeur à la vue de l'homme. Aussitôt, une grande admiration de Anthony envers l'homme commença à naître. L'homme donna de l'argent au père de Anthony pour qu'il achète des médicaments pour sa mère et, en s'en allant, le père de Anthony embrassa une fois la bague à diamants de l'homme et s'inclina en le remerciant, larmes aux yeux. Le lendemain, Anthony retourna dans la ruelle avec ses amis, leur raccontant l'histoire, ajoutant et enlevant parfois des détail, et gagnant ainsi le surnom de Greycat, du à la poussière de la ruelle qui l'avait maculé et aux traces de griffes qu'il avait faites au marchant. Leur journée se passa bien à jouer ensemble puis, en rentrant chez lui, il revit l'homme d'hier. L'homme lui demanda s'il voulait venir avec lui pour parler ensemble. Il devient son mentor.
Cinq ans plus tard, maintenant âgé de 14 ans, tout ce que Anthony connaissait de l'homme, c'est qu'il était sicilien, comme lui, et que sa phrase préférée était "Si tu veux quelque chose, prend le. Si tu ne peux pas, fais le quand même." Ce jour là, il fuga. Vers la Sicile. N'ayant jamais appris à lire, il du demander à quelques personnes près des quais ou se trouvait le bateau vers la Sicile et, lorsqu'il le trouva, y entra de justesse sans se faire repérer. Son voyage commença, clandestinement. Son père et sa mère seraient surement en pleurs, mais au moins, elle était guérie. Il vécu près de six ans en Sicile, et c'est là qu'il commit son premier crime grave. Presque un an après son arrivé, il faisait déja partit de la gang de la ville portuaire ou il était arrivé. Conaissant la ville par coeur, un jour, après s'être battu avec l'autre gang du coin, ils s'étaient enfuis. Son poursuivant n'était nul autre que le chef de l'autre gang, alors que lui-même ne l'était pas encore. La poursuite se termina dans un vieil entrepot. Croyant qu'il aurait pu s'en sortir définitivement par la, Anthony constata avec surprise que la porte venait juste d'être barricadée. Paniquant, il se retourna pour voir son adversaire. Alors qu'Anthony était simplement vêtu de vieu linge, son adversaire portait quelque chose de neuf et de beau. La haine s'empara d'Anthony, qui se rappela ses jours passés avec son mentor. Il se précipita vers le garçon, plus âgé que lui de 2 ans, et commença à le frapper. La bagare se continua au sol et son adversaire, en raison de son âge plus vieux, pris rapidement le dessus. Couché sur le dos, presque entièrement immobilisé mais très affaibli, il se prit plusieurs coups de poings à la figure, sentant le sang couler de son nez jusque dans son cou, lui donnant l'impression d'être souillé. Au désespoir, son sang commençant à se mélanger à ses larmes, il saisit brusquement un gros clou qui trainait au sol et lui enfonça dans l'oeil. Le cri du jeune fut épouvantable, et Anthony en profita pour déguerpir aussitôt, le laissant là. Il couru vers une chute près d'ou il se trouvait, compressant son nez de son chandail. Il se lava et retourna en ville, ou il était logé chez un aubergiste en échange du nettoyage de la place les soirs. Utilisant l'Italien sicilien que son mentor lui avait appris, il trouva une excuse pour son nez cassé et monta dans sa chambre, dans le réduit sous le toit. Le lendemain, il fut placé à la tête des deux gang, qu'il unifia. Ainsi, le Greycat commença à se faire appeler Don par ses plus proches amis, en blague, tandis que les autres jeunes appelaient leur gang la "Bambini Cosa Nostra", pour la Mafia des enfants. À vingt ans, il retourna vers New York, laissant sa bande derrière lui, nommant son meilleur ami à la tête, toujours sans avoir connu l'amour. Il retrouva son mentor, et ils voyagèrent vers Midghetto, où l'homme était Le Parrain. Anthony se fit nommer Consigliere et c'est avec fierté qu'il recommença sa vie pour la troisième fois. De plus, pour passer le temps ou il n'accomplissait pas des boulos, il se mit à commetre des vols plus importants que ceux dans son enfance, et gagna le surnom de Burgcat auprès des ses amis, en rapport avec son premier surnom qu'il portait toujours, Greycat. Il signa tous ses méfaits d'une tête de chat très rudimentaire à six poils et un gros C juste en haut, avec sa lecture et son écriture qu'il avait appris en Sicile, très peu encore dévellopée.
Nationalité: New York, origine Sicilienne
Armes:
-Un pistolet semi-automatique
-Quelques seringue de poison
-Un couteau à cran d'arrêt
-Chez lui, dans un coffre fort, une mitraillette style "Tommy gun"
Votre but: Remplacer le Parrain à sa mort
Mafia: Italienne
COMMENTAIRES: J'espère que c'est correct! J'ai dit que j'étais Consigliere (le deuxième plus haut grade dans la mafia italienne) dans mon histoire, mais je la changerai si vous ne vouler pas que je le sois... Merci beaucoup!
Accueil 
Rechercher 
S'enregistrer 
Connexion 
Sujet: Greycat 
!!!!
!
