314 Rameau Str.

La maison d'un homme fortuné. (c'est à dire moi.)
Quoiqu'une des plus petites quand on la compare au collossales concurrentes que sont ses voisines. Cette habitation se distingue.
Bungalow, le toit est incliné d'un seul coté et l'intérieur se résume à une immense aire ouverte qui englobe le salon, la cuisine, la salle à manger et la causerie.
Toute cette aire ouverte donne vue sur le fleuve, grâce à de immenses fenêtres.
Sinon, il y a une chambre avec un lit immense et des couvertes en fourrures.
Le terrain n'est pas si grand et il est couvert de bosquet.

Le parrain avait fait toute cette longue marche non sans-peine car il avait rois balles dans le bras gauche. Ce qui, d'ailleurs, n'était pas fréquent. Mais l'escapade à valu le coup, il avait rencontré un homme qui avait beaucoup de potentiel, ça valait le sacrifice.
Mais avec chaque imprévu vient des dépenses de plus, la merde était qu'il fallait qu'il appelle ce cher Marcov, un médecin qui faisait indic chez la mafia russe.Un gars avec une tapisserie de tatouages, tous étant pour la gloire de la Russie/Mafia. Car s'était un authentique, Karl le considérait premierement comme médecin et ensuite comme informateur.
Pour l'appeler il ne lui suffit que de prononcer son nom après avoir décroché son téléphone. Aucune conversation, seulement des faits. Marcov ne fit que dire qu'il partait à l'instant même.
[...]
La porte s'ouvrit:
"Salut vieux, comment va ton bras."
"Il pète pas la santé!"
Il s'avança et examina rapidement les blessures.
"Karl...depuis quand tu te fais tirer par les flics?"

"Ahah... je viens de m'abonner..."

"Pardon,... fais juste t'allonger là."

Il déposa une toile de plastique sur un fauteuil et partit stériliser son équipement. Il revint promptement.:
"Bon, je t'explique... il faudra oter les balles et le tissu, et je recoudrerai..."

"Pas avant, je sais..." le coupa Karl.

L'opération totallisa une dizaines de minutes.Après cela, Marcov expliqua ce qu'il savait de l'aventure de Karl de son coté, il finit ses dires avec:
"Et un proche du Boss est venu lui annoncer votre mort certaine..."

"J'aurai peut-être pas du croire en ce mec, je savais qu'il était louche, ....mais on verra
plus tard,... tu peut rester chez moi si tu veux, sers-toi, j'ai du champagn...de la vodka excellente et l'écran plasma est juste là."

Marcov aceuilli l'offre avec joie, tandis que le parrain alla se receuillir dans sa chambre, et faire le point sur la journée...

Sa faisait maintenant deux jours de convalescence que Karl se tapait, il avait même son docteur à domicile qui l'avait surveillé(bof). En fait, Marcov restait parce qu'il ne s'entendait plus avec sa femme, il pensait tout le temps au divorce et puis ,qu'est-ce qui arriverait aux gosses etc.. Ce genre de trucs débiles. Alors il était resté, mais sa commencait à le pomper.
Soudain, le téléphone manifesta un criant désir de se faire décrocher. Ce que Karl s'empressa de faire...

"Salut, comment va?"

"Mon bras droit te dit bonjour, enculé!"

"Alors ton bras est le seul à avoir subi des dommages, j'espérai..."

"Non, je suis toujours vivant, et en un seul ,morceau."

"Ah! dommage. J'avais pourtant un source qui m'avait dit que..."

"Et bien ta source est naze, parce que je suis vivant. Et puis, tu devrais faire attention, ta manière d'exprimer tes opinions, c'est blessant. Dans le buziness, laisse moi te dire que si tu parles comme ça à tes associés tu te fais charcuter."

"M'en tape, aller à la prochaine!"

Ça c'était le genre de conversation que Karl avait toujours eu avec le caïd Russe. Mais au fond, c'était un brave type.
Bon, le parrain avait deux jours de retard sur l'action, il avait de nombreux appel à effectuer. Des appels privés:

"Marcov, Dégage!"